Michel Polnareff coucou me revoilou le grand retour Part.2

18 août 2022 / personnage-illustre

Un affectif au centre de la vie de Polnareff, difficile à vivre au quotidien

Lorsque l’on ne s’aime pas, on aime mal. La peur de l’abandon notamment, et la provocation de cette situation résume assez bien, les relations affectives de Polnareff. En effet, Love Me, Please Love Me, La Poupée qui fait non, ces deux titres viennent illustrer ce que je viens d’expliquer. Un affectif au centre de la vie de Polnareff, difficile à vivre au quotidien.

Son amas planétaire en Cancer en Trigone avec son Ascendant Poisson nous indique que la relation à son père est bien plus harmonieuse que celle avec sa mère. Il est en un effet un compositeur renommé. Qui a écrit des chansons entre autre pour Edith Piaf, Mouloudji et Montand entre autre. Michel Polnareff a d’ailleurs été baigné dès son plus jeune âge dans un univers musical. Son père le mettra au piano à l’âge de 4 ans. Puis l’inscrira au conservatoire de Paris. Un père violent qui le pousse vers le classique alors que Polnareff rêve de rock et d’Amérique… Ses premières notes probablement seront celles de: » La Poupée qui fait non « . Dès l’âge de 13 ans il se familiarise avec l’anglais.

Alors que Polnareff rêve de rock et d’Amérique

En 1979, il devient beatnik, pacifiste. Et fait la manche à la terrasse des cafés, en reprenant les standards rock de l’époque. Le premier février 1966, repéré et invité par André Pousse. Il remporte un concours de rock organisé par Disco Revue dont le 1 er prix est un contrat avec Barclay qu’il refuse.

Michel accepte de signer avec la maison Disc AZ de Morisse, à condition d’enregistrer à Londres avec Jimmy Page à la guitare et John Paul Jones à la basse (futurs Led Zeppelin). Il sait déjà ce qu’il veut et ce qu’il vaut.

À son grand étonnement, la maison de disques accepte. Et » La Poupée » qui fait non sort le 26 mai 1966. Elle connaît un véritable triomphe et sera reprise par de nombreux artistes.

Polnareff dérange, son style androgyne proche de David Bowie

Polnareff dérange, son style androgyne proche de David Bowie (Cliquez sur le lien un article sur David Bowie) dans une France conservatrice, fait tâche. Néanmoins Il enchaîne alors les tubes, de la complainte : » Love Me, Please Love Me » (Rose d’or au festival, numéro 1 au Brésil au romantique Bal des Laze en passant par l’existentiel : » Sous quelle étoile suis je-né » ? ou encore l’électrique et revanchard : » Roi des fourmis « .

Le 25 octobre 1966, il monte pour la première fois sur la scène de l’Olympia, en 1970 il y passera en vedette. Toujours en 1970, il réplique à toutes les critiques sur son apparence. Et son mode de vie avec la chanson : » Je suis un homme « . Une vie tumultueuse faite de provocations comme lorsqu’il montre son « cul » et doit quitter la France pour l’Amérique. Un problème d’impôt son argent dérobé comme pour beaucoup d’artistes, il se spolier lui aussi…

Une très belle exposition parisienne à voir en ce moment en son honneur. Michel Polnareff est de retour pour notre plus grand bonheur. Le Cancer aime son pays, sa patrie, on dirait que l’heure du retour est programmé.

« Les Papotes Mystiques » et Médiations et Soin Guérisseur

Je continuerai notamment d’enseigner par mes lectures aidée du Tarot, de l’Astrologie, de la thérapie. Et notamment de tous les supports de guérison à ma disposition pour travailler avec tous.

Inlassablement, je vous aiderai à comprendre qu’il est temps d’être enfin vous. D’être et d’accepter la mission que vous êtes probablement venus accomplir ici bas. Et notamment à chercher sans relâche des chemins qui vous permettront d’être lumineux, sereins, confiants et créatifs. N’oublions jamais que nous sommes tous des facettes du Un.

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