Satsang c’est notamment un mot en sanskrit qui veut dire vérité
« Et alors reviens à toi même à l’endroit que tu connais. Rentrer à la maison, c’est ce que Bouddah a trouvé. Le Bouddah a fait une retraite en lui même. Il n’a pas eu besoin d’aller ailleurs. En effet, le monde vénère Bouddah, celui qui a découvert le soi et Satsang c’est notamment un mot en sanskrit qui veut dire vérité et rassemblement. Son sens être en compagnie de la vérité qui est en soi. C’est aussi la possibilité de découvrir la nature de Bouddah. La non dualité ».
En effet, Anthony Paul Moo-Young est né le 29 janvier 1954 à Port Antonio, en Jamaïque. Son travail et son engagement est de révéler la vraie nature aux chercheurs de vérité. En 1993 il part en Inde et va rencontrer le Maître H.W.L Poonja et à la mort de celui-ci. Force de constater, qu’il reprendra le flambeau.
Dès que le Satsang commence les postures volent en éclat
Son engagement nous permettre probablement, de dépasser nos conditionnements éducatifs pour arriver à la béatitude de l’éveil. Dès que le Satsang commence les postures volent en éclat pour laisser la place à des rires, à des pleurs, à des compréhensions qui vont nous permettent de traverser la rivière. Lorsque vous savez qui vous êtes réellement, rien ne peut vous détourner de votre chemin. Quand il y a union entre l’esprit et le coeur vous êtes devenu vivant, réel, et éternel. Avec un amour
inconditionnel, et une patience inégalable Mooji enseigne des heures durant (cliquez sur le lien Part.2 ) et montre le chemin à chacun pour qu’il puisse reconnaitre la nature ultime de son esprit. Par conséquent, il nous fait découvrir cet espace « non-né » que l’on appelle aussi le Soi, l’Être, Dieu.
Il guide tout en répondant aux questions avec amour, bienveillance, sagesse et honnêteté. Grace à sa présence, sa joie et la paix qui émane de lui. Il interpelle profondément celui qui est sur le chemin. En d’autres termes, il est devenu un rendez-vous incontournable pour celui qui chemine. Par ailleurs des retraites de sept jours sont proposés au Portugal dans un espace dédié à ce travail.
Qu’on pourrait aimer sans attachement
« L’attachement n’est-il pas notre lien naturel avec le monde »?, se questionne la philosophe Simone Weil… Et Mooji lui répondrait qu’on pourrait aimer sans attachement et que nous devrions Donner sans exiger et ainsi nous pourrions Recevoir sans posséder. Puis il dit aussi que nous pourrions Percevoir sans projeter, tout en Témoignant sans juger. Il préconise alors de se Concentrer sans tension, et de Travailler sans contrainte. Essayer autant que faire se peut de se Détendre sans la paresse. Et de Jouer sans concurrence, tout en Appréciant sans désirs. Aussi nous pourrions Réfléchir sans imaginer, Servir sans le montrer et notamment s’ Abandonner sans hésiter.
Il est utile de comprendre que nous pouvons Défier sans dominer.
Tout en Méditant sans identité. Force de constater que nous pouvons Corriger sans blâmer, tout en Surmontant sans orgueil. Et qu’il est conseillé de Maîtriser sans rendre esclave, de Rire sans cynisme et de Pleurer sans pitié. Il enseigne aussi d’Affronter sans haine et de Guider sans supériorité. Il nous demande de Venir sans ego, de Partir sans regret et de Vivre sans arrogance. Enfin il préconise d’ Exister sans l’image de soi, d’Être un avec Dieu et de s’Eveiller avec le Réel «
~ Mooji
« Les Papotes Mystiques » et Médiations et Soin Guérisseur
Mooji un chercheur de vérité qui nous mène au Satsang Part.2 attention