Régression sur le chemin de Brosséliandre
31 octobre 2017 / regression
Régression, voyage dans le passé
Je vivais avec Gilles, Astrologue, médium chaneling, et métis indien du sud par son père et breton par sa mère. Je vous en ai déjà parlé dans cet article (cliquez sur le lien) si vous voulez en savoir plus. Depuis quelques jours il parlait de partir en week-end dans la forêt de Brosséliande, la forêt de Merlin l’enchanteur. J’étais très contente de l’accompagner lors ce voyage. Le jour J, Gilles a voulu conduire alors que ça n’était pas dans ses habitudes. Je lui ai donc laissé le volant alors qu’il m’expliquait que pendant qu’il serait aux commandes. Je ferai probablement une régression, un voyage dans le passé. Alors qu’il m’en parlait depuis quelques jours. Je n’avais pas compris que ça se passerait ce week-end, encore moins pendant le trajet.
Régression : l’Atlantide le jour de sa disparition
Nous sortions tranquillement de Paris. Il me demanda de bien m’installer, de me détendre, de faire quelques respirations, et puis de me visualiser entrain de descendre un escalier. Aussi, après quelques secondes je me suis vu enfant, je portais une robe rouge. Alors que je descendais joyeusement un vieil escalier en pierre en colimaçon.
Et puis quelques minutes après je me suis retrouvée dans une ville ancienne. Il y avait de l’animation, les personnes étaient vêtus différemment. Il faisait chaud c’était une ville près de la mer. J’étais entrain de descendre une rue animée et étroite en direction de la grande bleue. Tandis que sur ma gauche, il y avait des hommes âgés avec des longues barbes blanches assis sur le sol. Devant eux de grands grimoires ouverts sur lesquels ils écrivaient en lettres d’or ou dorée dans une langue qui m’était incompréhensible. Tout était calme et puis d’un seul coup j’ai vu une vague grise d’une quinzaine de mètre. Déferler sur cet endroit, aujourd’hui on parlerait de tsunami, mais en 1982 nous n’étions pas encore familiarisé avec ce terme.
Régression ceux qui le pouvaient ont essayé de s’enfuir
Ces personnes qui ne s’attendaient pas à une telle catastrophe ont paniqué. Ceux qui le pouvaient ont essayé de s’enfuir, de se cacher. Un vent de panique à déferlé sur cet endroit, bousculades, cris. L’angoisse se lisait sur les visages stupéfiés et beaucoup ont péri noyé. Après réflexion, je pense que je me suis retrouvée en Atlantide, le jour où elle a été engloutie.
Et puis instantanément, le temps d’un battement de cil, je me suis retrouvé en Grèce. La mer était calme, d’un bleu profond, il y avait des rochers. J’ai aperçu une très belle femme de loin. Elle portait d’une toge blanche, une de ses ses épaules était dénudée, ses longs cheveux roux, ondulés étaient lâchés. Ils descendaient le long de son corps et flottaient dans le vent. Elle ressemblait un peu à la Vénus de Botticelli. La vision s’est rapprochée, nous nous sommes regardés ses yeux étaient d’un vert intense et des larmes ont inondées mon visage. Des larmes de bonheur, de gratitude. c’était une rencontre singulière où j’ai reçu beaucoup d’amour.
Régression des larmes inondaient mon visage
Cette vision était nette, et forte. Au
cun mot n’a été échangé tandis que nous pouvions nous comprendre. Je suis restée là longtemps, sentant les larmes inonder mon visage dans un bonheur extatique. Durant plusieurs jours, cette vision ne m’a pas quitté. Aujourd’hui encore après tant d’années lorsque je repense à ce moment, à cette rencontre improbable, je revois ces yeux et je ressens encore cette intensité.
Je me souviens aussi avoir ouvert les yeux deux, trois fois pendant que Gilles roulait et avoir aperçu un panneau avec le nom d’une ville et un kilométrage et lorsque j’ouvrai à nouveau les yeux pour moi seulement quelques minutes à peine s’étaient passées, et pourtant nous avions déjà parcouru une certaine distance. Gilles disait qu’un « vrule » avait été installé sous la voiture et qu’il accélérait le temps. Je n’oublierai jamais cette régression comme les autres d’ailleurs que j’ai vécu dans ma vie. Ce sont des rencontres d’une intensité rare, des moments précieux et inoubliables qui colorent nos vies. Le mot qui me vient est gratitude, le coeur s’ouvre et il est envahi par une vague d ‘amour qui déferle en lui.
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Tags: Amour , Atlantide , énergie , Grèce , illuminatoires , Régression