Atlane | Chercheur en Astrologie - Tarologie

Habitudes alimentaires une réflexion sur la traçabilité de nos produits dans nos assiettes Part.1

 

Sommes nous prêts à changer nos habitudes

 

Produits alimentaires : Qui les fabriquent… Qui les achètent, sommes nous prêts à changer nos habitudes de consommation ?
L’idée d’écrire cet article m’est venue suite à avoir entendu une phrase de Coluche :
« Quand on pense qu’il suffirait que les gens arrêtent d’acheter, pour que ça ne se vende plus, quelle misère… »
Sauf que moi, je dirais : quelle chance nous avons. !!
En fait chacun, individuellement, peut apporter sa pierre et contribuer à la construction d’un nouveau paradigme, tout comme l’illustre la légende amérindienne qui explique que le colibri fait sa part, en apportant des gouttes d’eau, pour éteindre la forêt en feu.
Pour changer nos habitudes, c’est compliqué : manque d’argent, de temps… crise économique, sanitaire…. Mais quoi qu’il en soit, on mange quand même.
Et puis finalement on oublie et on se dit que ce n’est pas si grave… D’ailleurs ça ne se voit pas réellement comme dans un face à face avec un ennemi. Si c’est autorisé, nous traduisons « sans danger ».
Et pourtant tout se dit, se sait mais est souvent oublié….

 

On préfère les bonnes vielles habitudes

 

 Je ne souhaite pas faire partie de ceux qu’on nomme alarmistes, mais plutôt dire que je suis une réaliste.
La réalité de l’agroalimentaire c’est que quand elle n’est pas sous contrôle il y a de gros risques d’intoxication plus ou moins sévères qui peuvent aller jusqu’à faire mourir des innocents.
Vous souvenez-vous du scandale des lasagnes au cheval en 2012/2013, des raviolis Leader Price en 2001 ?
Mais c’est passé comme une lettre à La Poste. Les représentants de l’agroalimentaire ont dit tout va bien, c’est sous contrôle et les politiques les ont couverts. Les politiques et les industriels s’arrangent toujours, main dans la main. Tout le monde le fait, le sait et rien ne change, ça continue. Probablement préfère-t-on encore les bonnes vielles habitudes en ce qui concerne l’alimentation (Cliquez sur le lien un article sur la Papesse de l’alimentation) .
En fait, les organismes de contrôles sont trop peu nombreux et il est impossible de tout surveiller. La loi fait obligation à l’industriel de s’assurer lui-même, que la qualité est bonne (auto-contrôle). De toute façon, les fraudes continuent et il n’y a pas réellement de sanction (impunité totale).
Parlons maintenant des auxiliaires technologiques de production : C’est une catégorie d’additifs qui est spécialement conçue pour ne pas être déclarée sur la liste d’ingrédients, ne se retrouvant qu’à l’état de traces dans le produit fini. Donc le législateur a dit : on peut l’utiliser. Mais on ne veut pas le dire au consommateur.
Il existe au moins 400 additifs autorisés + 400 auxiliaires (ex : solvant, hexane, dichlorométhane, glyphosate…).
 Si on réfléchit un additif c’est quelque chose qui ne se consomme pas naturellement et qui donc est rajouté. Qui n’apporte rien au niveau nutritif donc qui ne sert à rien d’un point de vue alimentaire. Exhausteurs de goût (glutamate), édulcorants intenses, si on utilisait moins de ces produits, on aurait moins de problèmes de santé.
 Sans oublier l’irradiation au Césium pour enlever les bactéries mais qui ne me donne pas confiance altérant l’ADN.

 

Si on faisait un référendum justement sur nos habitudes

 

Les cas d’obésité et de diabète s’accentuent et sont liés à l’utilisation de fructose généralisée dans de nombreux produits. Encore des habitudes alimentaires. Et l’industrie pharmaceutique répond avec tout un tas de molécules pour guérir la maladie, traiter les symptômes : on s’attaque au symptôme mais pas à la racine du problème. Il suffirait de retourner à des habitudes plus saines et censées, une façon de nous nourrir naturelle pour retrouver la santé la plus part du temps.

 

 

C’est notamment un scandale sur la santé.
Et cela touche tous les circuits de la distribution y compris les boulangers, les restaurateurs, les cantines. Chez les professionnels comme dans la grande distribution tout le monde fait l’autruche pensant que le consommateur est attaché à ses habitudes.
Si on faisait un référendum justement sur nos habitudes et que l’on questionnait le consommateur. Je pense que tous ces professionnels seraient surpris car les mentalités ont beaucoup changé et le consommateur s’intéresse bien plus qu’ils le ne le pensent à sa santé.

 

Corinne Zaiontchkowsky     Tel : 06-27-26-84-63                                                                  Site : www.biopartage.com

 

 

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