Le travail est-ce que mon activité me fait progresser, me comble, est-ce je gagne un argent qui me plaît ? Part.2

De plus en plus de personnes se posent des questions à propos de leur travail

Grâce à l’Astrologie, je peux voir les dons d’une personne, ce qu’elle a travaillé de vies en vies, si l’on croit aux vies antérieures et le pourquoi de son incarnation. Au fil des ans, je constate avec joie que de plus en plus de personnes se posent des questions à propos de leur travail. Si par ailleurs, ce rendez-vous quotidien peut les faire évoluer, leur apporter du plaisir, de la gratification. Au risque de me tromper, ça n’était pas une demande courante, il y a encore quelques années. Gagner un argent qui me plait, quoi de plus normal. Échanger du temps au quotidien contre une rémunération qui me permette de bien vivre. D’être en accord avec moi-même, et me sentir respectée.é.

Plus nous aurons ce choix, plus les gens seront investis, contents et reconnaissants de participer à l’élaboration d’une nouvelle société qui les reconnait. Qui probablement leur donne l’emploi qui leur convient.

Avoir un rôle à jouer, être intégré, avoir sa place dans le monde, devrait faire partie de toutes organisations sociétales. Qui notamment a comme principe le respect de chacun. Où l’on croit à des valeurs humaines plus que mécaniques. Un système où l’on guide la personne à utiliser et servir ce pourquoi elle est faîte.
Lorsque l’on sait ce pourquoi on s’est incarné, que l’on trouve son chemin, tout est bien plus clair et simple à mettre en place.

Il se rendrait à son travail le coeur léger avec une joie d’être en compagnie de personnes qui le booste

On est heureux de servir, Amma ce maitre spirituel indien, cette femme qui a pris des millions de personnes dans ses bras Appelle ça le seva. Un temps que l’on offre pour aider une œuvre,, un projet dans lequel on se sent appelé, en affinité, et spontanément, on ressent le besoin d’être au service d’un plus grand tout, de quelque chose qui nous dépasse.

Dans une société qui respecte ces principes. L’être ne ferait pas de burn out, ne somatiserait pas non plus d’ailleurs. Il se rendrait à son travail le cœur léger avec la joie d’être en compagnie de personnes qui le boostent. Qui le font évoluer. C’est comme s’il continuait un enseignement précis qui l’intéresse, qui le nourrit. L’être humain aime progresser. S’il a la chance de rencontrer de bons professeurs, qui allument le feu en lui (Cliquez sur le lien, Part.1). Qui lui ouvrent les portes de la curiosité. Si on l’écoute et que l’on sait trouver les mots. On devrait aller vers une civilisation qui avant tout redéfinit le monde du travail.