Ils testèrent le mercure, dans un premier temps
Encore un peu d’histoire: Les conquistadores de Christophe Colomb ramenèrent la syphilis de leurs voyages aux Amériques et l’épidémie se répandit allègrement. Les médecins européens étaient impuissants face à cet ennemi, leur pharmacopée à base de plantes était inefficaces. A l’époque, les populations maures et juives étaient très présentes en Ibérie. Leurs médecins avaient développé une pharmacopée chimique importante issue, entre autres, des pratiques alchimiques.
Ainsi, ils testèrent le mercure, dans un premier temps. Ils crurent avoir enrayé l’épidémie. Ils obtinrent des résultats intéressants dans la guérison de la syphilis, mais, hélas….Guérison provisoire, finalement, les gens mouraient d’une intoxication (cliquez sur le lien Part.1 à lire) au mercure, avec nombre de symptômes comparables à ceux de la syphilis. Et ainsi la syphilis devint le vecteur du développement de la pharmacopée chimique.
Les gens mouraient d’une intoxication au mercure
A cette époque, la Très Sainte Espagne était passionnément catholique romaine et…. Les Amérindiens n’étaient pas reconnus comme des humains. Ils n’avaient pas d’âme, et comment voulez-vous que des bêtes aient la connaissance suffisante pour éradiquer ce cadeau du diable? Et pourtant…… eux, ils savaient, ils connaissaient les plantes guérisseuses (l’écorce du bois de Gaïa et la Salsepareille, par exemple).
Ils connaissaient aussi leurs conditions d’utilisation, la plus importante étant que l’absorption de ces plantes-médecine soient accompagnée de bains de chaleur à plus de 42°C. Au début du 16 ième siècle des businessmen espagnols eurent l’idée d’importer des plants de salsepareille. Mais ils omirent dans leurs consignes d’utilisation la nécessité des bains de chaleur. Et ainsi le remède se révéla inefficace. Ils abandonnèrent leur projet et c’est ainsi que la Salsepareille se répandit sur presque tout le pourtour du bassin méditerranéen et devint peu à peu une plante locale.
Regardons aussi d’un peu plus près le mode d’action du mercure sur la Tréponéma et la Borélia
Alors? Alors, puisque Borélia et Tréponéma se ressemblent tellement. Il serait fort probable qu’elles soient éradiquées par les même protocoles thérapeutiques: utilisation d’une phytopharmacopée accompagnée de bains de chaleur, les 2 bactéries devenant très vulnérables lorsque la température dépasse 42°C. Lorsque la nature crée un «poison», elle crée localement l’antidote, alors, quelles peuvent bien être ces plantes locales antidotes de la Borélia?
La plus renommée semble être la Renouée du Japon (Fallopia japonica) et, pour que la rencontre du poison et de l’antidote se fasse, il faut qu’ils aient des points communs. Si vous tapez «Renouée du Japon» dans Google, les premières informations que vous obtiendrez seront: «plante invasive extrêmement difficile à éradiquer», et…. Le fait du hasard? Cette épidémie de renouée est synchrone avec l’épidémie de Boréliose, la difficulté extrême à éradiquer l’une et l’autre est un autre point commun significatif. La cardère est également une autre plante antidote de la Maladie de Lyme.
Renouée du Japon + Cardère + Salsepareille est une bonne combinaison d’antidotes locales à la Borélia.
Regardons aussi d’un peu plus près le mode d’action du mercure sur la Tréponéma et la Borélia
« Les Papotes Mystiques » et Médiations et Soin Guérisseur