Je sentais que ce stage l’avait rempli d’énergie, de vie
J’ai découvert Joe Dispenza il y a cinq ans grâce à un de mes amis qui rentrant d’un atelier-conférence à Paris, m’en a parlé et m’a enjoint à acheter son livre : « Le placébo c’est vous ». Je partais le lendemain à Bali pour plusieurs semaines et je passais par la FNAC car il avait été fort insistant ce qui n’était pas dans ses habitudes. Je sentais que ce stage l’avait rempli d’énergie, de vie et j’étais curieuse, je le reconnais de rencontrer cet homme qui l’avait d’une certaine façon plus qu’interpellé durant ce week-end. Il est vrai que ce livre m’a accompagnée pendant mon voyage, que j’ai bu ses paroles. J’ai d’ailleurs écrit un article sur lui sur mon blog, il y a quelques années, si vous voulez le lire (Cliquez sur le lien ).
Joe Dispenza un être que l’on ne rencontre pas à chaque coin de rue. En vingt et un jours il a su éviter plusieurs opérations lourdes après un accident où il fut trainé par un chauffard en 4/4 . Un être qui refusa ces opérations intrusives et avec lesquelles il aurait eu des séquelles à vie. Et notamment il trouva seul, en cherchant profondément en lui comment comment retrouver une vie normale. Aujourd’hui comme il le dit il est au service et passe une grande partie de son temps à transmettre son enseignement de par le monde.
Leurs réponses à des questions lors de cet atelier-conférence étaient si pertinentes
J’ai vu qu’il faisait une conférence avec Gregg Braden qui a écrit entre autres : L’éveil au point zéro »et « La divine matrice » un être charismatique, un scientifique qui est aussi un être spirituel et qui crée des passerelles entre ces deux mondes. Bruce Lipton que j’ai découvert récemment lors de cette retransmission, un universitaire, plein d’humour et d’intelligence.
Leurs réponses aux questions posées lors de cet atelier-conférence étaient si pertinentes et m’ont nourries à tel point que j’ai eu envie de re-transcrire le plus fidèlement possible leurs propos. Chaque article répondra à une question posée par les participants. J’ai pensé que ce classement aurait du sens.
Ce dimanche où j’ai passé plus de sept heures devant mon ordinateur à re-transcrire cet enseignement, m’a rappelé ma période parisienne où semaine après semaine durant 17 ans, le mercredi était le soir consacré au « Cabaret Mystique » d’Alejandro Jodorowsky que je suivais assidûment.
Où tracez-vous la ligne entre vos expériences spirituelles et la vie de tous les jours
« On est entrain de percer le voile, les gens se réveillent, le travail spirituel est de l’amour rendu visible ». Gregg Braden
« Je suis très optimiste à propos de notre planète et du futur de notre monde. Cependant si le monde se terminait aujourd’hui, je ne pense pas que cela va arriver, mais si cela arrivait, ne serait-ce pas incroyable, que ce groupe, ce week-end puisse commencer un nouveau monde? Nous avons tout ce dont nous avons besoin ici pour créer un monde merveilleux.
La Première question à laquelle il leur est demandé de répondre : Comment peux-t-on participer à l’éveil de la conscience, lorsqu’on est de retour dans notre vie quotidienne? Ecoutons Gregg Braden : Où tracez-vous la ligne entre vos expériences spirituelles et la vie de tous les jours? Dès que vous tracez une ligne vous tombez dans l’ancien piège de séparation de polarité qui vous maintient séparé de la chose même que vous aimez et que vous chérissez le plus c’est à dire la vie elle-même.
Ceci dépend probablement de notre perception
De mon point de vue tout ce qui arrive fait parti de votre chemin spirituel. Il est impossible, que vous viviez quelque chose qui ne fasse pas partie de votre éveil. Ceci dépend probablement de notre perception, comment perçoit- on notre travail spirituel?
Joe Dispensa : » Je crois que nous vivons une époque incroyable. Si vous n’êtes pas mis au défit quelque part dans votre vie, vous n’êtes pas vivant. C’est une initiation. Je ne crois pas d’ailleurs que vous devriez aller dans des écoles d’anciennes sagesse perchées au-dessus de l’Himalaya pour recevoir des enseignements et des informations. C’est la vie même qui est l’école de l’initiation. Vous ne pouvez plus être une victime de votre vie. Vous devez faire face aux défis à partir d’un plus grand état d’esprit, plus grand que celui que vous avez reçu.
Il serait bon de se créer des défis dans notre vie
Il y a eu de nombreux articles académiques qui ont été écrits sur des rassemblements pour la paix. Cependant, nous avons constaté des baisses de criminalité, d’accidents, moins de morts, plus de croissance économique. Et tout cela est en lien avec ce qui se passe actuellement. Par ailleurs, ça ne suffit pas de se focaliser sur la paix, et de s’attendre à ce que le monde change. Parce que lorsque ces évènements ont pris fin, à nouveau des crimes et violences se sont manifestés. Je pense que ce qui est important pour nous ce n’est plus de prêcher la paix. Mais de l’incarner et de la démontrer. D’être coincés dans le trafic et de faire un doigt d’honneur. Ou encore d’être en conflits avec nos collègues, nos proches…
On ne peut pas se battre pour la paix si on a des conflits dans la vie
On ne peut pas se battre pour la paix si on a des conflits dans la vie. C’est un processus d’auto-observation. A lieu de juger quelqu’un ou quelque chose, on essaye plutôt de voir s’il y a un aspect de nous même ou dans cette situation que nous pouvons changer. Et si on fait tout ceci, quelque chose de plus grand, une plus grande conscience va émerger. Je crois qu’il ne devrait jamais être question de personnes, mais plutôt de principes.
Et lorsque l’on défend des principes, cela crée des communautés. Et si on partage les mêmes principes comme notamment, la joie, la liberté, la coopération. Ce sont ces idées communes qui construisent des communautés. Tout ce qui se passe dans le monde me fait penser à la séparation. Que ce soit la guerre, la violence, les politiques, les préjugés. Toutes ces choses là, font que nous vivons avec les hormones du stress. Et lorsque l’on vit dans un état de survie, on ne fait plus confiance, on devient plus égoïstes. Alors si on commençait la journée et on se demandait comment je peux créer une grande expression de moi même à présenter au monde.
Quand vous démontez de la grandeur dans votre vie
Et puis qu’on prenne la décision de ne pas se lever avant de devenir cette personne. Je pense qu’on commencerait à démontrer de la grandeur. Bien sûr, il serait bon de se créer des défis dans notre vie. Alors la question serait comment puis-je devenir surnaturel? On doit faire des choses qui ne sont pas naturelles, d’abord, quand tout le monde est dans un sentiment de pauvreté et de manque. C’est à ce moment là qu’il faut donner. Probablement, quand le monde est dans un sentiment de peur et d’hyper vigilance c’est à ce moment là qu’il faut montrer du courage. Quand les gens sont dans la colère, la haine, les préjugés c’est à ce moment là qu’il faut montrer de la compassion. Quand les gens se font concurrence pour se précipiter au sommet c’est à ce moment qu’il faut changer son énergie et ne pas attirer l’expérience à vous.
Si vous continuez à faire ce qui n’est pas naturel, tôt ou tard, vous allez devenir sur-naturel. Ce qui se passe c’est que nous avons des neurones dans le cerveau. Les neurones miroirs appelé les neurones de l’empathie, de l’imitation. Quand vous démontez de la grandeur dans votre vie. C’est égal si vous laissez passer quelqu’un devant vous, ou si vous aidez quelqu’un, ou bien si vous ramassez un déchet, les gens seront plus enclins à faire la même chose. Alors on commence à changer le monde, en se changeant soi-même d’abord.
Quand vous démontez de la grandeur dans votre vie
Bruce Lipton : « Le temps est peut-être le bien le plus important dans notre vie. Lorsque l’on perd du temps en faisant des choses que l’on n’a pas envie de faire, nous réduisons notre vie. Parfois on fait des choses par habitude, par protocole car c’est ainsi. Il y a des moment -s’il l’on s’extrait d’un engagement- on se donne davantage de temps dans sa vie. Force est de constater que c’est une occasion de faire l’expérience du paradis sur terre. Et si on donne tout son temps, on n’a plus rien pour soi. Vous êtes un agent libre, et quand vous sentez que ça n’est pas dans votre intérêt de faire quelque chose, vous avez tout à fait le droit de vous déconnecter. Et puis de récupérer votre vie pour utiliser votre temps comme bon vous semble.
Si vous êtes fâché avec quelqu’un et que vous avez le dernier mot. Il n’y a pas de dernier mot, car lorsque vous pensez avoir dit le dernier mot, vous savez que quelque chose va vous revenir. La meilleure façon c’est de laisser l’autre gagner. Et d’ailleurs, s’il vous traite d’imbécile dites lui c’est vrai je suis un imbécile… Ne rentrez pas dans son jeu.
« Les Papotes Mystiques » et Médiations et Soin Guérisseur
Braden, Dispenza et Lipton un pont entre la sagesse ancienne et la science moderne, Dieu Part.2
Braden, Dispenza et Lipton un pont entre la sagesse ancienne et la science moderne, Part.3 cellules
Braden, Dispenza Lipton la sagesse et la science, Part.4 antenne