La folie de l’humain qui a perdu le sens, planète

Tous les êtres qui ressentent un lien fort avec notre planète. Vous diront que notre terre est un être vivant

Dans cette tribune, je vais vous exprimer un point qui me tient à cœur, et j’aimerai qu’il puisse ouvrir une petite fenêtre dans vos vies. Et vous permettre de changer quelques habitudes si nous ne voulons  pas l’être obligé drastiquement. Le dérèglement climatique s’impose chaque jour un peu plus et nous le voyons dans des incendies incontrôlables, d’une violence extrême partout dans le monde. Des inondations, de la grêle qui détruis nos cultures, des ouragans, la température des mers qui augmentent et nos glaciers qui fondent…

Nous sommes notamment connectés à notre Terre-Mère, notre Pachamama. Comme le disent les indiens d’Amérique et tous les êtres qui ressentent un lien fort avec notre planète. Vous diront que notre terre est un être vivant, qui a un cœur,, du sang, qui respire… Et qui depuis plusieurs années déjà montrent des signes d’épuisement.

Que si notre planète est en danger, que si l’un meurt l’autre ne peut survivre

Seuls ceux qui sont fermés ou probablement qui ne veulent pas en prendre conscience occultent cette réalité. Notre terre a la capacité de se régénérer, alors que l’humain en dépend totalement. Et dans son aveuglement il ne voit pas que sa vie ici-bas par ailleurs se rétrécit de plus en plus.

Que si notre planète est en danger, nous le sommes intrinsèquement, qu’il y a une interdépendance notoire entre nous et que si l’un meurt l’autre ne peut survivre (Cliquez sur le lien un article sur Greta Thunberg). Quelle absurdité dans le fait de faire l’autruche, de continuer à voler, à spoiler. A aller toujours plus loin sans considérer que l’on ne peut se servir impunément. Qu’un jour, il n’y aura plus de pétrole, de métaux rares, de gaz et j’en passe…

Chaque année nous prélevons bien plus que nous le devons et notre convoitise, notre côté prédateur se sert avec outrance, et sans aucun scrupule. Comme si c’était open bar, et que nous n’aurons jamais à rendre de compte ne serait-ce qu’à nos enfants. Quel monde allons-nous leur laisser d’ailleurs ?
Je ne comprends pas que tant d’êtres ne prennent pas conscience de ce qui se joue aujourd’hui. C’est absurde et stupide de continuer à prélever sans compter. De courir à notre perte. Comme si nous étions dans une course folle. Nous sommes comme déconnectés de la réalité et ceux qui nous le rappellent ne sont pas suffisamment entendus.

Comment faire pour ralentir cette consommation qui nous met tous en danger. Il est évident que le confinement a permis à notre très chère terre de respirer un peu, mais que depuis tout est reparti comme avant, sans prendre conscience de notre impact au quotidien. C’est toujours la même histoire, les pollueurs et les prédateurs ne veulent rien entendre.

Comment faire pour ouvrir leurs yeux, ôter les oeillères avec lesquelles ils vivent ?

Qu’il puisse prendre soin de notre berceau, la seule planète à ce jour sur laquelle nous puissions vivre

Je me souviens d’une histoire. Un jour un roi décida que lui comme tous ses sujets  devaient marcher avec des échasses, les années passèrent et plus personne ne se souvenaient que l’homme pouvait marcher sans ces attributs. Arriva alors, un homme d’un pays lointain sans cet appareil et il fut montré du doigt, moqué et bannit…

L’être humain peut se convaincre et vivre d’une réalité qu’il s’est créé, qui lui a été imposée. Des guerres pourraient éclater sur ces divergences de points de vue.probablement sur  ce rétrécissement de la vision, de la compréhension. L’homme est dans l’outrance, malgré toutes ces prises de conscience que nous devons ralentir notre consommation.

La jeunesse qui commence à se mobiliser derrière Greta Thomberg entre autres, d’autres jeunes se réveillent, sera-t-elle suffisamment convaincante. La Solastalgie dont beaucoup de nos concitoyens sont aujourd’hui affectés (Cliquez sur le lien un article  intéressant) aura-t-elle l’impact attendu pour créer un mouvement inverse ? Je fais confiance à l’humanité, je vais continuer tel le colibri à faire ma part. Surtout à ne rien lâcher. Co-créer une réalité différente où chacun puisse vivre en harmonie. Où chaque individu commence à s’aimer pour mieux aimer, l’autre, les autres et qu’il puisse prendre soin de notre berceau, de notre nid, de notre Pachamamma, la seule planète à ce jour sur laquelle nous puissions vivre.