Une étude sur le potentiel génératif des neurones sur l’Ayahuasca Plantes médecine a été publiée Part.2

L’Ayahuasca Plante Médecine, permet au corps de se nettoyer, de se soigner

L’Ayahuasca Plante Médecine, entraîne une sorte d’ébriété, (Cliquez sur le lien Part.1) avec nausées et vomissements. En fait, elle permet au corps de se nettoyer, de se soigner. Herman un chaman équatorien de la tribu des Shuars qui signifie citoyens du monde. Que je connais bien, dit que probablement c’est le sacrifice que nous devons accepter. Pour pouvoir accéder à des plans supérieurs, à des visions, et à des Enseignements et aussi à des guérisons. Les effets apparaissent généralement 30 minutes après l’ingestion de ce thé pour durer plusieurs heures (visions enthéogènes, amplification des sens, rêves éveillés, voyages astraux. Car ces Plantes nous instruisent, ouvrent notre cœur, notre capacité de s’aimer et de fait d’aimer…).

Outre l’effet psychotrope, les activités de l’Ayahuasca révélés sur nos récepteurs de sérotonine. Également appelées hormones du bonheur, sont reconnues et étudiées depuis quelques années dans le traitement de la dépression mais aussi de l’addiction.

Dernière en date, une étude sur le potentiel génératif des neurones sur l’Ayahuasca est parue dans la revue américaine Transnational Psychiatry en septembre 2020. Dans cette récente analyse animale est étudiée une des molécules les plus emblématiques et mystérieuses du breuvage. La diméthyltryptamine (DMT) qui est responsable, également, de ces effets psychotropes. Les résultats indiquent que la DMT participe et augmente la création de nouveaux neurones à l’âge adulte. Une propriété non négligeable, lorsque l’on sait que les maladies telles que Alzheimer ou Parkinson, sont dues à la baisse du nombre de neurones. Et leur capacité à se lier entre eux. Cependant, à cause des propriétés enthéogène de la DMT, impossible de proposer un traitement selon les législations actuelles. L’Ayahuasca rejoint alors le large cercle des plantes aux potentiels médicinaux étudiés. Mais qui tombent sous le joug comme le cannabis de réglementations confuses.

Espérons que des remises en questions se fassent, que les esprits s’ouvrent enfin pour laisser à la science et à la médecine une liberté certaine qui permettrait de nouveaux traitements pour les personnes en quête de soins appropriés à leur problématique. Espérons que certaines lois permettent enfin que les médecines ancestrales aient à nouveau le droit d’exister au grand jour.